[Rp] Etrange manuscrit...

[Hrp]Petit Rp de ma création, qui peut dériver en Rp multiple si il y a des motivés[/i]

Tahroy, de retour sa chasse, apporte un carnet fait de cuir couvert de sang, sous le regard de ses Sang Blables, il ouvre et examine les premières pages

Citation :

Journal du 03 Martalo 642

Je viens de trouver la grotte, celle-ci semble profonde.
Je suis neanmoins déjà à court de potions de soin,
les kanigrous sont vraiment étranges par ici.
Demain je trouve un moyen d'ouvrir la grille.

Le sacrieur, plutôt excité, tourne la page en dechirant légèrement la page précédente

Citation :

Journal du 04 Martalo

J'ai ouvert la grille, un
piège m'a prit, je souffre,
le poison s'engouffre en
moi.
Me voilà tout de même
dans la grotte, ayant cru
que la lance ne m'avait pas
infliger trop de dégâts.


Un grondement s'entend
au fond, une créature y vit...
J'espère ne pas avoir fait
des conneries

La suite !

Souriant suite a la demande de Maya, Tahroy tourna la page, la nouvelle était tachée de sang et mal écrite, sous le regard effrayé de Yuriko, Tahroy lu les mots

Citation :

Journal du 05 martalo

A vision devient plus floue,
ma jambe est en lambeaux.
Je ne l'ai vu que
rapidement, ses grandes
griffes m'ont transpercé,
seul mon couteau l'a fait
partir pour le moment.
Mais il reviendra, je dois
fuir...

Sur la suivante, le sang s'était arrêter, elle ressemblait aux premières
La page était par contre plus longue et l'écriture très petite

Citation :

Journal du 6 Martalo

Ce n'est pas possible... Nan !
Me trainant dans la boue
qui inondait la grotte, j'ai
continué mon chemin.
Je suis par hasard tombé
sur une salle, celle-ci était
recouvert d'une
gigantesque bibliothèque.

L'histoire du monde des
douze, de la création au
moment actuel. Chaque vie
avait son livre, chaque
respiration était
retranscrite !
J'ai pris trois livres traitant
sur la création des dieux,
les mystères de cet endroit
et sur ma propre vie.
Je suis tout de même encore
Sous le choque, cette
découverte pourrait changer
le monde !

Ille assoiffée de lecture arracha violement le receuil des mains du meneur elle ouvrit une page au hasard et lu haut et fort pour les autres membres présents. L'écriture n'était pas celle que la roublarde avait vu lorsque le livre était dans les mains du Sacrieur.

Citation :

17 javian

Aujourd'hui ça fait trois jours que j'ai ce maudit carnet et depuis il ne m'arrive que des catastrophes. Comme je l'ai écris hier nous nous sommes perdu avec Max Boulbiloute et il est mort quelques heures après. Je m'enfonce donc dans le passage qu'il y a derrière la bibliothèque. Il semblerait que quelqu'un passé il n'y a pas longtemps, les torches ne sont plus allumé mais les mèches sont encore chaude. Je pense que c'est mon groupe. Enfin j'espère. Mas j'ai peur que ce soit cet homme dont Arno Laïf -le précédent propriétaire de ce journal- a parler avant de ne plus rien écrire. Il n'y a pas un seul bruit. J'écris en marchant. Heureusement que j'ai quelques bougies à fixer sur mon casque, c'est une technique que j'ai apprise avec lors d'une exploration dans une grotte près du camp des Brutas. Bref. Sur les murs les écritures sembles être des prières pour Osamodas, mais je n'arrive pas à tout déchiffrer car le mur est abimépar endroit, il manque même certaines pierres. Mais un peu avant d'arriver en haut de l'escalier dans le quel je me trouve maintenant j'ai pu lire en Amaknéen récent "Osamodas, je te prie d'accepter le pardon de ce jeune fou, il ne sait pas ce qu'il fait. Il ne voulait pas tuer ton enfant.". Je suppose que "ce jeune fou" est le vieillard dont parlait Arno Laïf. Je suis enfin en bas de l'escalier et depuis que j'ai poser mon pied sur la dernière marche de l'escalier j'entends un bruit sourd, comme si quelqu'un tapait la pierre avec une masse ou une épée. Je me dis que c'est mon équipe qui veut forcer un passage. J'ai beau essayer d'aller vers eux mais avec les échos je ne sais pas d'où vient le tapement. J'ai crié et le bruit s'est arrêté mais aucune réponse, je crois que j'ai fais une bêtise. Si je n'écris pas sur la page suivante dites à Lulu Miaire, ma femme, que je l'aime plus que tout et que ma dernière pensée était pour elle.

Ille regarda Grorak et les autres un court instant, sourit puis pris la racine que le Sacrieur fumait inhalla un grand coup et la rendi à son ami. Elle tourna la page jaunie et légèrement cornée. Elle sourit à ses auditeurs une nouvelle fois puis repris sa lecture

Citation :

18 javian

J'ai retrouver mon équipe hier après avoir fui les bruits sourd. Mais ils sont tous morts. J'en conclus qu'hier j'ai bien entendu cet homme dont parlait Arno. À fur et à mesur que je lis les paroles de M. Laïf il devient de plus en plus mon ami et que plus le temps passe plus je fais unité avec ce manuscrit. Il doit vraiment être maudit, je vous conseil de vous débarasser de celui-ci tant que vous pouvait.
Pour en revenir à ce que je disait j'ai trouvé les corps de mes coéquipiers raides commes batônets de sourimi. Tout leur équipement était encore sur eux mais d'etranges symboles d'une couleur argentée était comme encré sur eux. J'ai préfèré ne pas toucher à leurs cadavres pour ne pas alerté celui ou ceux qui ont fait ça. J'essaie de retrouver mon chemin mais ici tout se ressemble et je n'ai pas penssé à mettre des point de repère. Et ce fou, si c'est bien lui a recommencé à taper comme un sourd ! J'en peut plus ! Par contre j'apperçoit enfin de la lumière, je range la plume et le livre pour prendre mon marteau.
Ça y est je suis entré dans la pièce pour finalement tomber sur la tanière du fou, il y a beaucoup de matériel trop sofistiquer pour que je puisse comprendre à quoi ça sert mais il y a des notes, je ne comprend pas grand choses, c'est écrit en un dialecte qui vient d'un autre temps. Je ne m'éternise pas de peur de croiser l'homme dont parle Arno.

Je demande la suite.